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Monsieur Westa
16 octobre 2007

Stardom

dirtJe souhaiterais reparler de la série Dirt, dont la saison 2 ne devrait pas tarder à débuter sur les télés américaines. Rapide synopsis : la vie de la rédactrice en chef d'un magazine people en Californie (Courteney Cox, alias Monica dans Friends), de son ami-confident-schizophrène-photographe-attitré, de son équipe rédactionnelle, et d'un couple de stars au beau milieu de tous les potins. En plus du caractère dramatique, ce que j'aime dans cette série, c'est l'association du glamour de la vie de stars et du côté malsain qui y règne. Sexe, drogue, chantage et trahisons font évidemment partie du voyage (on est quand même très loin de Melrose Place... Dieu merci). On a aussi droit à un peu de violence mais elle est ici suggérée, ce qui la rend, à mon avis, encore plus efficace, dans ces milieux déjà pas très cleans à la base. Rassurez-vous, on a aussi droit à un peu d'humour (pas noir, mais presque) avec le cas du photographe schizophrène dont la copine mort-vivante accouche de chatons... Dernier point jouant en faveur cette série, une musique toujours un peu planante, très ambiante, trip hop, qui sied parfaitement aux scènes faisant l'apologie de produits illicites. J'espère en tout cas vous avoir donner envie de visionner cette série. Et je préfère préciser que l'on rentre vraiment dans l'ambiance qu'à partir de l'épisode 3.

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Par ailleurs, deux petites réflexions par rapport à la note précédente concernant In Rainbows et l'achat de vinyles. La première pour dire qu'une seule écoute ne suffit sûrement pas pour apprécier l'album : comme pour tout bon disque, plusieurs écoutes sont requises pour rentrer dans l'atmosphère Radiohead et commencer à apprécier le travail réalisé et les effets qu'il produit (sans forcément y succomber). J'ai toujours en mémoire le best of de Blur que j'ai aimé dès les premières écoutes mais dont j'ai, au final, très rapidement fait le tour...

La deuxième réflexion concerne le découpage des albums en deux disques distincts (2xLP), soit quatre faces. Je trouve que c'est un peu abusé dans la mesure où ça fait, pour un album "classique", quelque chose comme dix ou douze minutes par face. Alors, bien sûr, ça fait partie de la culture du média vinyle, mais on se croirait tous des DJs qui veulent seulement passer le single de l'album en question, et ne pas s'ennuyer à chercher la piste correspondant sur une face en comportant 6 ou 7 sur un album 1xLP (contre 3 ou 4 sur un album 2xLP). Or, je pense ne pas être le seul à apprécier écouter un album dans son intégralité plutôt qu'une chanson par-ci par-là. A bas les 2xLP donc. Voilà qui est dit...

Quant à ces images, beaucoup circulent sur le net et peut-être en avez-vous déjà vu, mais ces deux-ci m'ont fait beaucoup rire, alors j'en fais profiter tout le monde.

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Commentaires
D
je suis tout a fait d'accord avec toi. Mais pour revenir aux 2xLP, j'imagine que les 2xLP doivent avoir une vraie raison d'être parce que c'est clairement un obstacle pour moi à l'achat de vinyles (quand je vois Wax Tailor qui s'y met, je me pose des questions !!!). Je penche donc pour une meilleure qualité audio (peut-être comme certains vinyles qui sont plus lourds que d'autres), ou bien un quelconque aspect "deluxe" qui ravit les aficionados du vinyles... Je ne sais pas vraiment...
L
c le problème des best of t'as les meilleurs chansons mais t'as aucune unité en passant. même radiohead si tu passes de creeps à un somnifere de kid A ca fait drole.<br /> En plus les best of résultent plus svt de l'appétit financier des maisons de disques que de la volonté artistique des groupes. Ils ne s'y consacrent surement pas comme il faudrait.
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